En 1955, la revue « Esprit » publiait « Le cadavre encerclé », une tragédie d’un jeune Algérien inconnu : Kateb Yacine. Quelques critiques reconnurent déjà, à la violence de ce cri, au timbre de cette voix, la présence d’un très grand écrivain. Puis vint « Nedjma », un roman publié en 1956 et qui fut salué comme un événement littéraire. Depuis Kateb Yacine, tout en travaillant à un second roman, « La femme sauvage », a poursuivi son expérience théâtrale. « Le cercle des représailles », que voici, comprend, outre « Le cadavre encerclé » (créé à Bruxelles en novembre 1958 par Jean-Marie Serreau, et qui sera joué prochainement à Paris) une farce : « La poudre d’intelligence » et une tragédie : « Les ancêtres redoublent de férocité ». Cet ensemble est clos par un poème dramatique : « Le vautour ».
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