Avec Jean-Pierre Vittori, c’est un véritable secret que nous forçons : celui de ce qui s’est réellement passé dans l’esprit, dans le cœur, dans l’âme même des deux millions et demi de jeunes Français qui, à la fin des années cinquante et au début des années soixante, furent « appelés » en Algérie pour y mener la guerre que l’on sait. Jean Clémentin écrit dans Le Canard enchaîné, « l’auteur procède modestement, en écoutant parler ceux qui furent les acteurs et les témoins, dont beaucoup sont encore aujourd’hui traumatisés ». Oui, enchaîne Gilles Perrault, dans Le Nouvel Observateur, « On n’a jamais écrit sur le contingent en Algérie avec tant de vérité, de justesse de ton, de rigueur et de mesure mêlées ». Aussi bien n’est-il pas étonnant que le présent ouvrage se soit vu décerner le prix de l’Amitié Franco-Arabe.
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